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Rennes le Chateau Le chainon manquant
18 août 2020

BONJOUR, A défaut de pouvoir mener un cycle de

 BONJOUR,

     A défaut de pouvoir mener un cycle de conférence satisfaisante, j'ai opté pour une publication de mes travaux sur ce support, histoire de prendre date pour le futur.

 

     Cette restitution se déroulera en plusieurs épisodes ainsi qu'il sied à un feuilleton estival.

     Je vous encourage à ne pas céder au règne de l'immédiateté, de posément suivre les chemins que je vais vous proposer.

     Cette restitution n'est qu'une étape et j'espère peu à peu vous convaincre de la justesse de mon propos.

     A cet égard, dans un premier temps, si un éditeur est intéressé et souhaite prendre une option pour une publication à venir, merci de me contacter à l'adresse mail suivante :

     alain.cocouch@gmail.com

 

    Avant d'entreprendre mon récit et pour une bonne compréhension de ce qui va suivre, une note sur la méthodologie suivie s'impose.

    Pour bien saisir toute la cohérence et la logique à l'oeuvre, il s'agit ici de se placer dans l'état d'esprit des initiés qui se sont succédés au cours du 19ème siècle, chacun répondant à un mode opératoire commun et un système de références des plus subtil.

    Ce modus opérandi repose sur un jeu ne laissant guère de place au hasard. Tout, ici, est savamment calculé et choisi afin de conduire l'impétrant se risquant dans les dédales de l'Affaire vers la lumière et la solution recherchée. Ce jeu s'articule et se déploie autour de dates de différents calendriers et les correspondances en terme de lieux ou de personnalités y afférent.

    Ainsi, ce jour du 22 juillet, premier jour de restitution répond à la fête de Marie-Madeleine dont la présence insistante a durablement marqué l'affaire des deux Rennes, et dont nous verrons plus loin qu'une seconde lecture, très pragmatique, pourrait expliquer la présence.

    Les divers calendriers en présence sont :

    Le calendrier grégorien, celui que nous utilisons quotidiennement depuis la réforme de 1582.

    Le calendrier julien qui précéda le grégorien.

    Conversion vers le calendrier hébreu quand cela s'impose.

    Conversion du calendrier républicain vers le calendrier grégorien.

    Le rideau se lève.

    Le secret des deux Rennes se dévoile.

    Bonne lecture.

 

     

 

 

 

 

 

CONFERENCE RENNES LE CHATEAU

 

PREMIERE PARTIE

 

Bergère pas de tentation,que Poussin Teniers gardent la clef,PAX 681,par la croix et ce cheval de Dieu,j'achève ce daemon de gardien, à midi pommes bleues.

 

Le public averti aura ici reconnu une phrase mythique dans l'univers de l'Enigme, issue du décryptage du Grand Parchemin de Rennes-le-Château.

Le sujet de cette conférence est de porter à votre connaissance les divers éléments constitutifs aidant à la résolution de celle-ci, et ,si l'on reconnait à cette phrase valeur d'énigme dans l'énigme sa résolution, en toute logique, doit pour le moins conduire à un éclairage nouveau, tant sur la forme que sur le fond, de nature à ouvrir le champs du possible.

A cette fin, et suivant en cela un modus operandi utilisé par les divers intervenants successifs, que cela soit sur le plan local ou dans le milieu artistique du dix-neuvième siècle , je vais dresser devant vous un tableau comparatif de plusieurs éléments fondateurs.

Ce tableau repose sur un principe simple , quand bien même sa finalisation pourra apparaître d'une certaine complexité.

Aussi vais-je m'efforcer d'être le plus clair possible, mon unique souhait pour l'heure étant de vous aider à comprendre et , pourquoi pas, vous convaincre.

( reprendre exposé sur le mode opératoire )

Je ne prétends pas tout expliquer ici, et apporter des réponses sur le rôle des protagonistes en cette affaire.

A contrario j'apporte un éclairage nouveau sur ce dossier qui, je l'espère saura vous séduire.

Le titre de cette conférence : Ground Zéro résume assez bien le but que j'ai poursuivi durant de longues années, celui de circonscrire un périmètre de recherche au plus près possible de l'entrée potentielle d'un réseau souterrain contenant un témoignage écrit, comparable peut-être à certaines découvertes contemporaines ( Nag-Hammadi – Qûmran ), ainsi qu'une nécropole sacrée.

 

Sur ce sujet des dates du calendrier et leur efficience vis-à-vis de notre affaire, la date mythique du 17 janvier ne saurait échapper à notre vigilance , d'autant plus que celle-ci , couplée avec une autre date , aboutit au résultat final.

Je vais maintenant débuter ma démonstration par l'un des éléments fondateurs : la stèle de marie de Nègre d'Ables , marquise de Blanchefort.

 

 

La date du 17 janvier 1781 est à considérer pour ce qu'elle est : un indice fort.

Prenons maintenant l'un des éléments également issu du Grand Parchemin, à savoir la formule  ad Genesareth – Vers Genesareth – qui induit ici une idée de direction.

Genesareth est l'ancien nom de Tibériade en Palestine.

Or, sur les rives du lac de Tibériade est enterré l'une des figures marquantes du judaïsme médiéval , Moïse Maïmonide.

( exposé bref sur Maïmonide )

Qui décéda le 13 décembre 1204.

Il convient ici de procéder à une conversion de calendrier à calendrier – du grégorien au judaïque pour la stèle et du julien au judaïque pour la date de décès de Maïmonide ( 1204 étant antérieur à la réforme du calendrier de 1582 )

 

Pour les deux matériaux en question, nous aboutissons à la date du 20 du mois juif de teveth.

Nous verrons plus loin que la date du 13 décembre se manifestera de nouveau sur un second code contenu dans le cryptage de la stèle de marie de Nègre – le code MORT EPEE.

Ce dispositif est là pour nous signifier que la date du 17 janvier et celle du 13 décembre sont deux dates qui se répondent l'une à l'autre.

( début du schéma général )

 

Poursuivons, il est dit que Béranger Saunière rapporta de son voyage à Paris , trois reproductions de tableaux : Sur ordre, Saunière se rend au Musée du Louvre et en repart avec des copies de trois tableaux : « Les bergers d'Arcadie » de Nicolas Poussin ( 1594-1665 ), « L'ermite Saint Antoine » de David Téniers le Jeune ( 1610-1690 ) et le « Portrait du pape Célestin V » par un anonyme ; le premier de ces tableaux : d'un peintre célèbre ; le deuxième : d'un artiste obscur ; le troisième : d'un auteur tout à fait inconnu.

Nombre de chercheurs se sont bien évidemment saisi de ce matériel d'étude, Poussin et Teniers figurant dans la phrase Bergère pas de tentation.

Mais quid du portrait du pape Célestin V , dont on peut légitimement s'interroger sur la raison de sa présence.

Célestin V amène une remarque sur une spécificité qui lui est propre, et qui ne s'est pas répétée dans l'Histoire jusqu'à tout récemment le cas du pape Benoît XVI , celle d'avoir démissionné de sa charge, et ce le 13 décembre 1294

( ajout au schéma général )

 

Prenons maintenant comme matériel d'étude le banc dit des curés situé dans le jardin de l'église de Rennes-le-Château et son inscription d'origine :

KXSLX – en accordant à chaque lettre sa valeur numérique dans notre alphabet nous obtenons ces chiffres : 11 24 19 12 24.

Il y a là une performance à saluer, celle d'indiquer des données propres au pontificat du pape Calixte II – qui eut la charge de la chrétienté romaine de 1119 à 1124.

Le nombre 12 est là pour indiquer le mois de décembre

Le nombre 24 de fin est là pour indiquer la date de sa fête le 12 décembre.

Calixte II dont la particularité est d'être décédé un 13 décembre.

Calixte II qui sera cité par l'abbé Henri Boudet dans son essai : la Vraie Langue Celtique et nous verrons cela plus loin.

 

Ainsi que nous pouvons l'observer cette date du 13 décembre se retrouve sur des éléments constitutifs du dossier qui sont loin d'être secondaires.

Le couple de dates 17 janvier – 13 décembre est celui qui permet de trouver le référent vers lequel nous devons accorder toute notre attention.

Ce référent est situé à Paris.

C'est un cheval de Dieu – deux fois monté – conséquence des soubresauts de la grande Histoire.

Il est notoire que Paris a quelque rôle à jouer dans la résolution de l'Enigme et le jeu de pistes qui nous est proposé ; ainsi lorsqu'il est fortement question du Méridien de Paris, ainsi que de l'église Saint-Sulpice de Paris ( cf le Serpent Rouge )  croyons bien qu'autant de signes nous sont adressés afin de signifier que nous devons sur le plan cartographique être vigilants.

La thèse que je vais exposer est celle-ci : au cours du dix-neuvième siècle, des initiés au secret, locaux ou du milieu artistique parisien, vont diriger nos regards vers un site parisien fortement imprégné des heurs et malheurs de la France.

Ce site, ce qu'il contient comme informations, a été choisi parce qu'il est, si l'on ose dire, à la croisée des chemins et donc qu'il agrège, par ce jeu subtil de concordances de dates du calendrier, une position cartographique à dupliquer sur le territoire de Rennes-les-Bains – sur le plan longitudinal il s'agit ici d'opérer un copier coller et sur le plan de la latitude de référence grâce aux informations qui vont se faire jour.

Ce référent historique et géographique est la clef de :

Bergère pas de tentation – PAX 681 – Par la croix et ce cheval de Dieu – la clef de Poussin et Teniers.

Débutons par PAX 681 : 681 est codé selon l'une des modalités de calendrier que nous retrouverons sur différentes sources, dont maurice Leblanc.

( bref exposé calendrier républicain )

681 est donc à considérer comme suit : 06ème jour du huitième mois de l'an 1 de la République.

En convertissant vers le calendrier grégorien nous obtenons la date du 25 avril qui est la date anniversaire du décès de David Teniers Le Jeune.

La clef de Teniers s'applique sur le mot PAX.

Et nous rentrons ici dans le vif du sujet.

PAX recouvre un évènement historique : le traité de paix de Vervins, clôturant un conflit opposant le royaume de France de Henri IV et le royaume d'Espagne de Philippe II, conflit qui débuta le 17 janvier 1595.

 

 

 

HENRI IV. Lettre de Henri IV du 17 janvier...

 

HENRI IV. Lettre de Henri IV du 17 janvier 1595. Importante lettre de Henri IV au seigneur de Bourdeille, convoquant les troupes de Périgord à le rejoindre avec d'autres car il vient en ce 17 janvier de déclarer la guerre à l'Espagne. Cette guerre se terminera par la victoire de Fontaine-Française dans le duché de Bourgogne qui permettra à Henri IV d'envahir, provisoirement alors, la Franche-Comté: " Monsieur de Bourdeille jaurais volontiers suivant ce que vous m'avez escrit retenu dans lestat des garnisons de Guyenne celles de vos maisons de Bourdeilles et de Brantôme Mais aian faict une loy generalle de nen tenir plus pour les maisons estant mesme le pais entierement libre comme il est, je n'en puis faire exception pour personne sans rendre la dite ordonnnace du tout in utille. Cest pourquoi je vous prie attendre de moy quelques gratffications meilleurs en une auctre occasion. Quand à ce qui est de votre estat j'ai toujours déclaré que je veuls que lone laiy tout semblement que l'ont (les autres ?) sénéchaux du gouvernement de Guyenne. Mays je désire quil soit emploié dans les estats sans quil en soit faict aucune imposition particulière affin de remettre les choses en la forme qu'elles doivent estre et qui est prescripte par mon ordonnance. Pour ce qui est deub des advences que vous avez peu faire pour mon service j'ai fit entendre a votre homme que son debvoir adresser à mon conseil auquel jay remis telles affaires. Vous aiant bien fait dire que mon intention estoit quil vous fust en cela et toute autre choses que vous concourerait faict tout bon honorable traitement comme je m'assure que ce fera. si ja il na esté faict. Je suis au reste sur mon partement pour mon voyage de Lyon pour lequel sans plus auculne remise je partiray à la fin de ce mois, ayant eu advis certain que l'armée des ennemis est desja au deca de la montainge. C'est pourquoi il est tres necessaire que je me rende par dela en toute diligence comme ayan desja faict advancer mon armée et ne menant déjà que la cavallerie avec moy. Je fais bien estat de la faire fort bonne. Et y estant je vous asseure que je ne marchanderay guère les ennemis. Cest pourquoi ceulx qui me voullent faire ce service que de m'assister en ceste occasion il est bien temps quils commencent a s'acheminer. Et vous particulierement qui estes des plus esloignes je vous prie donc si tost que ce porteur sera arrivé de vous mettre en campaigne. Car ce sera dès ceste heure tout ce vous pourrez faire que d'y arriver aussitôt que je seray. Et ce sera dès labordée que se feront les meilleurs exploits ausquels vous auriez regret de n'y estre trouvé. J'escript aux principaux de la noblesse de Perigort de me venir trouver et de se joindre à votre trouppe pour passer plus surement. Je rescoueray a vous dire moimesme le contentement que jay et le bon gré que je vous scay de ce que vous vous estes ainsy liberallement offert de faire le dit voyage à quand je vous verray pardela. Cependant soiez toujours assurés de ma bonne volonté. Sur ce, je prie Dieu Monsieur de Bourdeille de vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le 17 janvier 1595. Henry "

 

La date du 17 janvier nous renvoyant par la fête de saint Antoine ermite à David Teniers le Jeune et ses tentations.

 

 J'ai précédemment évoqué un site parisien, il s'agit ici d'un monument érigé par deux fois et qui devait répondre au même impératif de concordance de dates – 17 janvier et 13 décembre.

Le cheval de Dieu n'est autre que la statue équestre du roi Henri IV, situé au pont-neuf de paris avec la longitude 02° 20' 27'' Est.

La croix est celle de l'Ordre du Temple dont le dernier Grand-Maître Jacques de Molay périt sur le bûcher situé sur ce qu'il était convenu de nommer alors l'île aux Juifs :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Île_aux_Juifs

 

Bergère pas de tentation est une formule à double détente qui renvoie :

1°) Sur les Tentations de saint Antoine de david Teniers le Jeune.

2°) Sur le site parisien de référence, plus précisément le square du Vert-Galant ou le projet d'une statue de Jeanne d'Arc avait été étudié avant son abandon.

( cf Jeanne d'Arc et ses tentations + Projet statue Jeanne d'Arc square du Vert-Galant )

 

Le cheval de Dieu : Dieu serait personnifié par la figure historique de Henri Iv, au-delà de la monarchie de droit divin, Henri IV aima à se faire représenter en dieu Mars, mais aussi en Apollon.

J'ajouterais que ce choix porté sur la personnalité de Henri IV a permis, de par la biographie du Roi de faire coup double pour l'information sur les points de longitude, l'attentat commis par françois de Ravaillac qui lui  coûta la vie s'étant déroulé rue de la Ferronnerie à la longitude de 02° 20' 52'' Est.

Longitude dont nous verrons plus loin qu'elle réapparaît , avec un différentiel de quelques centième de degré bien excusable car il est un crédit à porter aux différents protagonistes de l'affaire, celui d'une connaissance précise de l'histoire et de la géographie des rues de Paris.

MORT EPEE

Concernant ce code je vous ai indiqué précédemment que celui-ci opérait le lien avec la date du 13 décembre.

Henri IV est né le 13 décembre 1553...Et ceci explique la récurrence de cette date du 13 décembre que nous allons retrouver tout du long ainsi que le choix porté par les initiés vers ce site et son monument.

Voici l'épée de Henri IV, roi de France et de Navarre :

Age d'or de l'astrologie, la Renaissance voit se généraliser l'établissement d'horoscopes. L'épée vraisemblablement offerte à Henri IV (1553-1610) par la Ville de Paris à l'occasion de son mariage avec Marie de Médicis (1573-1642) le 13 décembre 1600, résulte de cette mode et propose ainsi un décor extrêmement soigné mêlant les 12 signes du zodiaque à des inscriptions rédigées à la gloire du roi de France et de Navarre.

Réalisée en acier bruni, doré et damasquiné, l'épée, dont la monture présente les caractéristiques de la production française de luxe de l'époque, est parsemée de médaillons de nacre gravée. La garde et surtout la lame, accueillent des inscriptions rappelant les hauts faits guerriers et les vertus du roi, ce qui cantonne cette arme à un strict rôle d'apparat.

Sur la garde se détachent notamment la lettre initiale du prénom Henri, les fleurs de lys surmontées de la couronne royale (visuel 2), le collier de l'Ordre du Saint-Esprit et les armes réunies de France et des Médicis. Sur la lame se déroule une guirlande de 12 médaillons, qui correspondent chacun à un signe du zodiaque ; ils sont par ailleurs associés des faits marquants.

De ces faits marquants, il en est un qui nous intéresse particulièrement.

Mention : bataille de Coutras – MORT du sieur de Joyeuse.

A suivre

SUITE :

Pour une meilleure compréhension et pour celles et ceux qui découvrent je place à la suite de ma première intervention :

Nous affirmons donc qu'un référent parisien fut exploité au cours du 19ème siècle par les initiés au secret.

Ce référent qui est une sorte de miroir vis à vis du site situé sur le territoire de Rennes-les-Bains se trouve être un monument, à savoir la statue équestre d'Henri IV au Pont-Neuf de Paris.

Cette seconde statue inaugurée le 25 aout 1818 a pour auteur François-Frédéric Lemot, sculpteur de son état.

 

Il nous est difficile de ne pas mentionner la contribution de cet artiste à une autre oeuvre : 

 

La Garenne-Lemot

Dans la suite des parcs à fabriques La Garenne-Lemot est à cheval sur Clisson et Gétigné dans le département de la Loire Atlantique, à une trentaine de kilomètres au sud-est de Nantes. Le terrain où se dresse l'obélisque est situé à Cugand en Vendée.

http://www.parcsafabriques.org


Nous dirigeons nos regards vers un élément faisant partie des nombreux indices placés par les initiés : La Piéta en l'église de Rennes-les-Bains.

Nous devons à une équipe de chercheurs cette découverte sans aucun doute majeure.

Le Chaînon manquant prend ici tout son sens, puisque je complète et apporte la touche finale, sans laquelle il serait difficile de conclure l'ensemble de la quête.

Mais à tout seigneur, tout honneur, voici ce qu'écrivent nos chercheurs vis à vis de ce tableau :

 

Le Christ au lièvre 1 - Rennes-le-Château Archive

De même que le célèbre pourtant très visible dans la même église : "tableau de Saint‑Antoine est associé àND de Marceille , celui qui fut curieusement appelé " Le Christ au lièvre " renvoie àLa Crucifixion " l'église de Rennes‑les‑Bains et à la mythologie des deux Rennes.

 

 Ainsi que vous venez de le lire, le tableau de La Pieta s'inspire très étroitement de deux prédécesseurs :

- Paulus Pontius.

- Anthony Van Dick.

 Voici les deux raisons de ce choix, admirables de logique, de nouveau nous allons faire parler les dates du calendrier et leur correspondance vis à vis de l'Enigme :

Paulus Pontius est né à Anvers ( Belgique ) le 27 mai 1603.

François de Ravaillac - assassin d'Henri IV - fut exécuté le 27 mai 1610.

Quant à Anthony Van Dick,le jeu de correspondance est encore plus signifiant et imparable dans son déploiement:

Anthony Van Dick décède le 09 décembre 1641 à Blackfriars, quartier de Londres.

De sir Anthony Van Dyck, en date du 4 e 1641 Décembre, l' homologation accordée à sa veuve Maria Ruthven Lady Van Dyck, 13 e 1641 Décembre: mise à disposition pour la fille nouvellement née de Van Dyck Justina et sa fille illégitime Maria Teresa, qui est en cours élevé à Anvers par la sœur de l'artiste Susanna Van Dyck. Katherine Cowley [1] et Aurelius de Meghem [2] sont nommés exécuteurs testamentaires avec Lady Van Dyck

Lieu, date
Blackfriars, 4-12-1641

Référence archivistique
The National Archives, Kew PROB 1/7

Transcrit par James Innes-Mulraine

La date du 13 décembre, dont nous vous avons déjà affirmé qu'elle était un fil rouge à suivre dans notre enquête réapparaît.

De plus, le lieu du décès Londres Grande-Bretagne, vient amplifier le dispositif, en effet,en 1641, la Grande-Bretagne est encore sous le régime du calendrier julien, et si l'on transpose, à partir de ce calendirer julien vers le calendrier juif dont j'ai déjà souligné que le caractère spécifique obérait le hasard, nous aboutissons une nouvelle fois au 20 du mois de Teveth, c'est à dire que nous sommes ici en présence du troisième élément complétant le message de la stèle de Marie de Nègre d'Ables, Ad Genesareth et Maïmonide !

Si votre âme d'enfant est encore vivace, je me permettrais de vous renvoyer au Secret de la Licorne et les trois éléments cachés dans les trois maquettes permettant de localiser le site à explorer...

 

A suivre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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