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Rennes le Chateau Le chainon manquant
23 novembre 2020

DU SECRET DES DEUX RENNES suite

Avant d'entreprendre la suite de mon étude consacrée à l'examen de la Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet, voici quelques éléments qui ne sauraient être négligés.

 

Nous commencerons par l'étude d'un nombre récurrent dans l'univers castelrennais, le nombre 22, que l'on retrouve notamment dans l'église de Rennes Le Château sous la forme d'une phrase à laquelle ont été rajoutées deux lettres : PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS – ceci sous la vigilance soucieuse de quatre anges opérant le signe de croix.

 

Considérant que la méthodologie de concordances de dates de différents calendriers est une des voies à suivre afin de parvenir à la résolution de l'Enigme – le nombre 22 peut alors se décliner comme étant la date du 02 février.

 

Or, le 02 février 1119 le Pape Calixte II est élu et sera coiffé de la tiare papale une semaine plus tard le 09 février.

Calixte II que nous allons retrouver dans la Vraie Langue Celtique page 222.

Calixte II renoue avec le fil rouge dont je vous ai déjà entretenu : la date du 13 décembre.

Sa mort intervient en effet le 13 décembre 1124 à Rome.

 

Calixte II est important en terme d'indice majeur car auteur d'une bulle papale fulminé en son temps ( 1119 ) la bulle Blancafortis qui renvoie au château de Blanchefort.

 

Il s'avère nécessaire ici de considérer la page 222 de la VLC de Boudet.

 

Espéraza, que les habitants nomment avec
raison Sparassa, est appelé Sperazanus, dans
une bulle du pape Callixte II, en date de l'année
1119, citée par Dom Vaissette. La contexture de
Sparassa renferme les mots suivants : - spar,
poutre, - axe, hache, - hand, main

 

La page 222 se doit d'être traduite en date de calendrier comme étant le 22 février.

Le travail de correspondance se doit d'investiguer cette date à la recherche d'un sens signifiant – le 22 février peut se raccorder à un événement, une personnalité ( naissance, décès, fête etc... ) et dans la cas présent au peintre Jean-Baptiste Corot décédé le 22 février 1875, à Paris, rue du Faubourg Poissonnière, longitude 02° 20' 55'' Est.

Jean-Baptiste Corot auteur du tableau suivant :

 

 

La promenade du Poussin – campagne de Rome.

 

 

 

 

 

 

Bien évidemment, c'est ici le titre générique qui est à prendre en considération.

Pour être clair en creux nous sommes ici , avec l'ensemble du dispositif , en phase d'approche très sensible du site dissimulant une entrée vers la cache de Rennes Les Bains.

 

Je décline par avance toute responsabilité vis à vis de celles ou de ceux qui seraient tentés d'explorer ce site périlleux – et j'informe donc du danger inhérent à cette recherche.

 

Explorons maintenant un autre matériel situé dans le cimetière de Rennes-les-Bains : la tombe de l'abbé Jean Vié qui fut le prédécesseur de l'abbé Boudet à la cure de Rennes les Bains.

 

Cette tombe comporte certaines anomalies dont le sens a pour l'heure échappé à une explication rationnelle.

 

Il y a un jeu avec la date de décès indiquée comme étant le 01er septembre et inscrite comme suit – 1er 7bre 1872 – date qui est fausse Jean Vié étant décédé la veille le 31 août – le 1 et le 7 formant le nombre 17 – accolé au nom de Jean Vié donnant la date du 17 janvier.

 

L'erreur volontaire sur la date de décès s'explique par ce lien – le 01er septembre 1872 est relatif à de nouvelles extensions du cimetière de Saint-Ouen à cette date – nous sommes de nouveau conviés au jeu de site miroir auquel les initiés nous invitent.

La longitude du site parisien est : 02° 20' 55'' Est.

 

Dans le même ordre d'idée et quitte à bousculer certaines idées reçues, je vais vous proposer une lecture d'un matériel dit de l'époque moderne, il s'agit d'un tableau ayant pour auteur Pierre Plantard et intitulé le Pape Pommes bleues.

 

Pommes bleues fait ici référence au phénomène lumineux se produisant chaque année, notamment à la date du 17 janvier dans l'église de Rennes-le-Château.

 

Description du tableau : ce tableau fait référence à l'une des cartes du tarot égyptien d'Oswald Wirth – le Pape – certains indices ont été rajoutées – la main du pape désigne le nombre PI sur son vêtement – le nombre PI ( ou un dolmen ) domine la scène dans le lointain – dans les hauteurs – la scène se déroule dans le cimetière de Rennes-les-Bains l'église du village est facilement reconnaissable – une croix fléchée d'une tombe semble nous indiquer la direction Ouest-Est et une autre flèche pointe vers le haut – Nord-Sud.

 

Le message est à considérer comme suit !

 

Le 17 janvier renvoie évidemment à la stèle de Marie de Nègre d'Ables marquise de Blanchefort.

Le nombre PI trouve une approximation avec l'opération suivante – 22 que divise 7 -

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le mathématicien chinois Liu Hui, en -263, a calculé que π serait compris entre 3,141024 et 3,142708, valeurs correspondant respectivement aux constructions d'un 96-gone et d'un 192-gone ; la moyenne de ces deux valeurs est 3,141866 (précision de 9 × 105). Il a également suggéré que 3,14 était une approximation suffisante pour des applications pratiques. Il a souvent été crédité d'un résultat plus précis π ≈ 3927/1250 = 3,1416 (précision de 2 × 106), bien que certains chercheurs pensent plutôt que celui-ci est dû au mathématicien chinois Zu Chongzhi14. Zu Chongzhi est connu pour avoir donné l'encadrement de π entre 3,1415926 et 3,1415927, correct à sept décimales près. Il a donné deux autres approximations de π π ≈ 22/7 et π ≈ 355/113. La dernière fraction est la meilleure approximation rationnelle possible de π en utilisant moins de cinq chiffres décimaux au numérateur et au dénominateur. Le résultat de Zu Chongzhi restera l'approximation la plus juste pendant près d'un millénaire.

 

Dans la pratique, le nombre 3,14 est souvent utilisé comme valeur de π. Il est cependant plus aisé de retenir la fraction 22/7 ou la racine carrée de 10 comme valeurs plus ou moins exactes de Pi.

 

En raisonnant en terme de date du calendrier 22/ 7 égale le 22 juillet fête de Marie-Madeleine , date pour laquelle j'ai précédemment écrit et démontré que celle-ci renvoyait au référent parisien La statue équestre du roi Henri IV au Pont-Neuf de Paris qui est LE CHEVAL DE DIEU , ceci par l'évènement qui se déroula le 22 juillet 1792.

 

 A suivre

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